Je suis dans la cuisine, j’ai mis les lasagnes à réchauffer. Je fixe les assiettes. Face à face familiale. Je l’attends. Les mains crispées sur le dossier de ma chaise. Dés qu’il apparait, je bondis sur lui.
« Pardon, papa. Je ne voulais pas te fâcher.»
J’ai passé mes bras autour de sa taille et le serre fort contre moi. J’enfouis ma tête dans son t-shirt.
« J’suis désolée. »
« Moi aussi, je n’aurai pas dû faire ça.»
« Pardonnée ? »
« Pardonné ? »
Je dépose un baiser sur son t-shirt.
«Pardonné/oublié »
Il dépose un baiser sur mon front.
« Je t’aime. Je t’aime plus que tout au monde »
« Moi aussi ma puce »
Je lui souris. Je me dresse sur la pointe des pieds pour aller l’embrasser sur la bouche. Je tente de forcer le barrage de ses lèvres mais elles restent hermétiquement closes.
« Embrasses-moi »
« Eve… »
« Tu préfères que je te suces ? »
« Eve !!! Ça suffit ! »
« Non, ça ne suffit pas ! Tu es à moi ! Tu m’appartiens… je t’aime…ne me repousses pas Greg, je t’en supplie… »
Je reviens sur sa bouche. Ses lèvres s’entre-ouvrent. Ma langue prend possession de sa langue. Je la caresse, la suce, l’absorbe. Mes lèvres glissent sur son cou, je soulève son t-shirt pour aller caresser ses tétons. Ma langue passe et repasse inlassablement sur ces deux bouts de chairs dressés. Il gémit. Je continue ma descente. Ma langue laisse une trace humide sur sa peau. Je dégrafe son pantalon. Le descend juste ce qu’il faut. Je me retrouve face à son sexe. Avant de poser mes lèvres dessus, je le caresse. De lents va et vient. Mon pouce s’amuse à l’exciter d’avantage en caressant l’extrémité de son sexe, ce qui lui arrache des râles.
« Dis-moi que tu veux ma bouche sur ton sexe »
« Eve… »
« Dis-le-moi. Je veux l’entendre. Je veux que tu me supplies de te sucer. »
Doucement, je passe ma langue sur son gland. Ce contact chaud et humide le rend fou. Je sais qu’il en veut d’avantage. Ses mouvements en sont la preuve.
« Alors ? »
« J’ai envie de ta bouche. J’aime sentir tes lèvres sur mon sexe. Putain Eve, arrêtes…tu me tortures… »
Je me recule, et me redresse.
« Fallait y penser quand tu te faisais sucer par Elisa »
Il quitte la pièce. Un moment plus tard, j’entends sa voiture démarrer. Il est parti. Je reste seule.
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