mauvaise fille

Vendredi 26 septembre 5 26 /09 /Sep 14:17

Pendant le repas, je ne parle pas. Je mange. D’ailleurs personne ne me parle. Avant le dessert, je me lève en leur montrant mon paquet de clopes. Un échange de regard avec ma grand-mère. Elle se tait.

***

Je me demande ce que j’ai bien pu faire pour qu’il m’abandonne. Qu’il aille vers une autre. Une fois le mégot écrasé sur le sol, je rentre, sans faire de bruit, sans me faire remarquer. Je monte. Je gagne notre chambre. Et là, l’odeur. Son odeur. Celle de son parfum. Je m’approche du lit, rejette tout sur le côté. Les draps sont froissés. J’approche mon visage de l’oreiller. Une odeur s’en dégage. Son parfum. Celui que nous avons choisis ensemble. Je souris. Il ne dort pas chez cette femme. Il dort ici, dans son lit. Seul. Après un regard sur le crucifix placé au-dessus du lit, je redescends.

***

« Eve, veux-tu du gâteau au chocolat ? »

Tout en souriant, je fixe ma grand-mère. Un combat sans merci vient de s’engager. Je compte bien en sortir vainqueur. Je me place derrière Greg. Alors qu’il va porter un morceau de gâteau à sa bouche, je détourne la fourchette, et je goûte.

En souriant, je regarde mon père.

« Il est bon mais …je n’ai plus faim »

Une fois la micro bouchée avalée, j’embrasse mon père sur la joue tout en passant mes bras autour de son cou.

« Eve, laisses ton père manger en paix »

Le ton de ma grand-mère est sans appel.

Je me colle un peu plus. Toujours souriante.

« Tu veux que je te dise Anaïs, le plus beau cadeau que tu m’ais fait, c’est ton fils »

Ma grand-mère manque de s’étrangler. Je murmure :

« Je t’aime Greg. »

Et je dépose un baiser dans son cou.

« Eve ! Ce n’est pas une façon de se conduire ! Tiens-toi correctement s’il te plait »

«Au fait, je ne t’ai pas dit…je suis allée me confesser…et Dieu m’a pardonné »

Elle a pâlit. Ses doigts se sont crispés sur sa serviette.

« Eve ! Comment oses-tu ?! »

« Et toi, si pieuse, comment oses-tu remettre en question la loi de Dieu ? »

Elle se lève d’un bond. Livide.

« Eve, excuses-toi »

Greg vient t’intervenir.

« À une condition, que tu reviennes à la maison »

Petit signe affirmatif de la tête. Sourire triomphant pour moi.

« Je te prie de bien vouloir m’excuser mamie »

« Bon, allez ! Vous n’allez pas vous chamailler pour si peu. Anaïs, acceptes les excuses de la petite »

Papi se réveille. Elle est obligée d’accepter. J’ai gagné la partie.

***

La confession. J’ai découvert ça… par hasard. Je trainais dans une église. Absorbée par la contemplation des vitraux, je m’étais assise sur un banc. Je ne l’ai pas vu venir, ni se pencher vers moi. Sa voix m’a fait sursauter. Il s’est excusé. On a parlé. Après quelques minutes, je lui racontais ma vie, sous le secret de la confession. Il voulait que je prie. Je l’ai prié de le faire pour moi. Dieu a effacé mes péchés. Je pouvais recommencer.

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Vendredi 19 septembre 5 19 /09 /Sep 17:17

Dania agrippée au bras de papa comme une sangsue. Sa bouche vermillon souriant à tout venant. Greg, plutôt sérieux. Et mamie, triomphante.

« Au fait chérie, il parait que ton père va te louer un studio ? »

« Il parait effectivement »

« C’est une bonne chose. Il est temps que tu deviennes indépendante »

Je lui renvoie un chaleureux sourire surmonté d’un regard glacial.

« Je vais certainement lui faire faire des économies… »

Regard interrogateur de la part de grand-mère.

« Oui, Arnaud part en Espagne au mois de décembre. Il va poursuivre ses études là-bas. Il m’a demandé de l’accompagner. Si mon père veut bien me supporter encore un mois, je déguerpirais ensuite »

« Tu le connais depuis combien de temps ce garçon ? »

Greg s’est enfin décidé à ouvrir la bouche.

« Trois semaines. Pourquoi ? »

« Tu comptais m’en parler un jour ?! »

« Pour t’en parler, il faudrait que tu daignes rentrer à la maison de temps en temps !!!»

Je suis en colère. Lui aussi. L’assemblée nous regarde. C’est grand-mère qui intervient.

« il est temps de passer à table ! »

Et comme si de rien n’était, elle nous indique nos places. Il va s’en dire que je suis à des années lumière de mon père. Et là, je vois le regard qu’elle échange avec mon père et je comprends qu’elle est au courant pour nous.

***

Il lui arrive de nous préparer des plats qu’elle dépose ensuite à la maison. Elle a les clés. Elle vient quand elle veut. Un après-midi, nous étions en train de faire l’amour. Il nous a semblé entendre quelqu’un. Quand on est venu dans la cuisine, on a trouvé une de ses préparations. C’était il y a plus d’un an. Elle ne nous en a jamais parlé. Du moins, pas à moi. J’ai bien senti parfois son regard s’attardait sur nous, mais sans aucune allusion. C’est elle qui m’a mise au monde. Je suppose qu’elle doit regretter de ne pas m’avoir étranglé avec le cordon ombilical…

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Jeudi 18 septembre 4 18 /09 /Sep 20:58

La porte s’ouvre

Assise sur mon lit, je fume. Le bout incandescent de ma cigarette est la seule lumière de la pièce. Je ne bouge pas. Lui non plus ne fait aucun mouvement pour entrer. Il reste dans l’embrasure de la porte.

« Il faut qu’on arrêter. Que chacun ait sa vie. Que l’on redevienne un père et sa fille. Je vais te louer un studio. Prés de la fac. Je te conseille vivement de réussir ton permis cette fois. Bonne nuit »

La porte se referme.

***

Des journées interminables  succèdent à des nuits interminables. Je suis seule. Il ne rentre plus, ni pour manger, ni pour dormir. Il communique par post-it. C’est comme cela que j’apprends que jeudi soir j’ai une leçon de conduite et que dimanche, on déjeune chez mamie. P.S : je peux venir avec mon chéri.

***

Comme papa n’est pas rentré de la nuit, j’ai demandé à mamie de venir me chercher. Dans la voiture, elle m’apprend qu’il ne vient pas seul. Je comprends mieux pourquoi il veut m’expédier dans un studio, prés de la fac. Dés que j’arrive, je me précipite dans LA chambre. Celle de mon père quand il était jeune, et la mienne aussi depuis que je suis née. J’ai toujours dormi prés de lui. Il y a toujours mon lit prés du sien. Ma photo sur sa table de nuit. Le jour où ma grand-mère a voulu en faire une chambre d’ami, j’ai hurlé. Elle a laissé tomber cette idée, mais à chaque fois que je viens, je ne peux m’empêcher de venir vérifier que tout est à sa place. Que rien n’a changé et que rien ne changera. Après mon inspection, je redescends soulagée. J’aide ma grand-mère à dresser la table. Et j’attends. J’attends que mon père arrive. J’attends de voir celle qui m’a remplacée. Je parle avec mon grand-père quand ils arrivent enfin.

***

C’est une femme. Dans ma tête, j’imaginais une fille de mon âge, pas une femme de son âge. Brune. Les yeux noirs. Les cheveux longs et ondulés. Maquillée. Talons hauts. Jupe. Chemisier sexy. Des nibards dans le soutif. Instinctivement, je baisse les yeux sur ma poitrine. Un véritable désert. Mamie l’accueille à bras ouverts. Elle est souriante. J’ai mal au ventre.

« Dania, quelle surprise ! Grégorie !tu m’avais caché que c’était Dania qui t’accompagnerait »

Papi et mamie la connaissent. Elle est juriste. Papa avocat dans le droit international. Papi juge pour enfants. Mamie sage-femme et moi incestueuse et future avocate spécialisée dans le droit des familles. Le gag !

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Lundi 15 septembre 1 15 /09 /Sep 10:16

 

Je suis dans la cuisine, j’ai mis les lasagnes à réchauffer. Je fixe les assiettes. Face à face familiale. Je l’attends. Les mains crispées sur le dossier de ma chaise. Dés qu’il apparait, je bondis sur lui.

« Pardon, papa. Je ne voulais pas te fâcher.»

J’ai passé mes bras autour de  sa taille et le serre fort contre moi. J’enfouis ma tête dans son t-shirt.

« J’suis désolée. »

« Moi aussi, je n’aurai pas dû faire ça.»

« Pardonnée ? »

« Pardonné ? »

Je dépose un baiser sur son t-shirt.

«Pardonné/oublié »

Il dépose un baiser sur mon front.

« Je t’aime. Je t’aime plus que tout au monde »

« Moi aussi ma puce »

Je lui souris. Je me dresse sur la pointe des pieds pour aller l’embrasser sur la bouche. Je tente de forcer le barrage de ses lèvres mais elles restent hermétiquement closes.

« Embrasses-moi »

« Eve… »

« Tu préfères que je te suces ? »

« Eve !!! Ça suffit ! »

« Non, ça ne suffit pas ! Tu es à moi ! Tu m’appartiens… je t’aime…ne me repousses pas Greg, je t’en supplie… »

Je reviens sur sa bouche. Ses lèvres s’entre-ouvrent. Ma langue prend possession de sa langue. Je la caresse, la suce, l’absorbe. Mes lèvres glissent sur son cou, je soulève son t-shirt pour aller caresser ses tétons. Ma langue passe et repasse inlassablement sur ces deux bouts de chairs dressés. Il gémit. Je continue ma descente. Ma langue laisse une trace humide sur sa peau. Je dégrafe son pantalon. Le descend juste ce qu’il faut. Je me retrouve face à son sexe. Avant de poser mes lèvres dessus, je le caresse. De lents va et vient. Mon pouce s’amuse à l’exciter d’avantage en caressant l’extrémité de son sexe, ce qui lui arrache des râles.

« Dis-moi que tu veux ma bouche sur ton sexe »

« Eve… »

« Dis-le-moi. Je veux l’entendre. Je veux que tu me supplies de te sucer. »

Doucement, je passe ma langue sur son gland. Ce contact chaud et humide le rend fou. Je sais qu’il en veut d’avantage. Ses mouvements en sont la preuve.

« Alors ? »

« J’ai envie de ta bouche. J’aime sentir tes lèvres sur mon sexe. Putain Eve, arrêtes…tu me tortures… »

Je me recule, et me redresse.

« Fallait y penser quand tu te faisais sucer par Elisa »

Il quitte la pièce. Un moment plus tard, j’entends sa voiture démarrer. Il est parti. Je reste seule.

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Mercredi 10 septembre 3 10 /09 /Sep 11:28

Je n’ai pas bougé. Je ne me suis pas levée pour aller à sa rencontre. Je suis avec Arnaud. Mon chéri. Je lui bouffe la bouche depuis tout à l’heure. J’attends qu’il rentre. Qu’il me voit. Qu’il nous voit. Qu’il imagine où j’ai bien pu poser mes lèvres avant qu’elles ne soient sur sa bouche. Mes mains aussi se baladent sur son corps et sur son sexe en particulier. Si je continue j’ai bien peur qu’il éjacule dans son froc. Enfin, il entre. D’un bond Arnaud se décolle. Rouge jusqu’aux oreilles. Je souris. J’ai un don pour plaquer sur mon visage un sourire de sainte nitouche qui a le pouvoir d’horripiler mon cher papa. Aussi, j’en use et j’en abuse. Je teste ses limites. Mon amoureux se tient maintenant à côté du lit. Ses mains tentent de cacher son érection. Moi, je n’ai pas bougé. Je dirais même que ma position lascive est plus que suggestive. Il me foudroie du regard mais je ne bronche pas.

«Heu…j’allais…partir… »

« Bonsoir jeune homme »

Je vois Arnaud disparaitre comme un voleur. Je ne peux m’empêcher de sourire d’avantage. Je suis toujours sur mon lit. Je sais qu’il va revenir. Furieux. Il me regarde. Il sait le pourquoi de ma conduite. Elisa et sa fâcheuse tendance à sucer toutes les queues qui passent à sa portée. Je tapote le matelas.

« La place est encore chaude, tu viens ? »

La porte claque. Je sursaute. Il est sorti.

***

Nous avons établi des règles. Jamais d’extras à la maison. Toujours à l’extérieur. Il a enfreint la règle. Il n’avait pas le droit. Il est furieux. Moi aussi. On  ne s’est encore jamais disputé pour ce genre de chose. Je croyais que je lui suffisais. Je me trompais apparemment.

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Dimanche 7 septembre 7 07 /09 /Sep 11:11

La première fois, j’avais 16 ans. Je l’ai rejoint comme il m’arrivait de le faire sous differents prétextes. J’ai toujours aimé dormir prés de lui. Sentir son odeur. Toucher sa peau. Ce soir là, s’est nue que je me suis glissée dans son lit. Je me suis collée contre lui. J’ai posé mes lèvres sur ses lèvres. Il s’est reculé mais j’ai posé ma main dans son dos, pour le retenir. Je lui ai expliqué qu’il m’avait appris à lire, à écrire, à nager et à faire du vélo et que je trouvais normal, qu’il m’apprenne à faire l’amour. Je pensais qu’il faudrait argumenter et peut-être même essuyer un refus, mais contre toute attente il m’a embrassé. Avec la langue. Je n’oublierais jamais notre premier baiser. Je me suis pressée un peu plus contre lui. Tout s’est enchainé naturellement. C’était il y a trois ans.  Ce soir là, en découvrant l’amour, je suis devenue sa femme-enfant.

***

« Eve, j’suis rentré »

Je bosse encore sur mon devoir. Un truc sur le droit constitutionnel. Je veux devenir avocate.

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Jeudi 4 septembre 4 04 /09 /Sep 13:31

Du plus loin que je me souvienne, il a toujours été là pour moi. Pas comme elle. Elle qui n’a jamais voulu que je l’appelle ‘maman’. Elle trouvait que ça la vieillissait. Alors que lui, il a toujours rectifié quand on le prenait pour mon grand frère. Il répétait inlassablement « je suis son père ». La dernière fois que je l’ai vu, elle, j’avais cinq ans. Une envie subite de jouer à la poupée lui était venue. Son jouet était arrivé. Jouet, faire-valoir. Seulement ce jour là, le faire-valoir s’était mis en tête de faire la vie. Elle s’est énervée. Son jouet rechignait, pleurnichait. Elle m’a frappé et folle de rage, m’a avouait qu’elle n’avait jamais voulu de moi. Que si j’étais là aujourd’hui, à lui gâcher la vie, c’était sa faute à lui. Lui seul voulait ce bébé. Mon père est venu me chercher, je pleurais toujours. Ils se sont disputés. Dans la voiture, je lui ai raconté ce qu’elle m’avait dit. Il a avoué. C’était la vérité. Je me souviens encore de ses paroles :

« Je t’ai désiré pour deux. Ta naissance a été le commencement d’une vie nouvelle. C’est pour cela que je t’ai appelé- Eve- »

La dernière fois que je l’ai vue, elle avait 20 ans.

***

« Eve, j’y vais. Je serai là pour diner »

Il passe à côté de moi. Baisse la tête, hésite un instant. Je pose mes lèvres sur ses lèvres. Il se redresse et disparait.

Par cass - Publié dans : mauvaise fille - Communauté : A l'ombre des romances...
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Mardi 2 septembre 2 02 /09 /Sep 15:50

Elle est agenouillée devant lui. Il ne s’est pas encore rendu compte que je suis là. Il ne s’y attend pas. Je suis censée bosser à la B.U. C’est ce que j’ai fait, deux heures durant. Puis j’en ai eu marre, j’avançais plus, ne comprenais plus, alors, j’ai décidé de rentrer chez moi. Garée dans la cour, sa voiture. Un peu plus loin, son scooter à elle. J’ai tout de suite compris ce qui se passait. Depuis le temps qu’elle me surinait avec ‘il est trop beau’, t’as trop de la chance’. Jamais je n’aurais cru qu’elle ose me faire ça. A moi. Sa meilleure amie.

Il vient de me voir. Je suis dans l’entrebâillement de la porte. Figée par la scène qui se déroule devant moi. Ses prunelles vertes se posent sur moi, un éclair de mécontentement, relayé par un ‘je ne sais quoi’ d’autre.

Il ne me lâche plus du regard. Me défi. Je lui souris. Il est vraiment beau et très sexy. Je sais qu’il pense à moi. Qu’elle n’est plus qu’une bouche. Une sensation sur son sexe. Elle a perdu son identité. J’ai pris sa place dans sa tête. Je l’observe. Il me laisse faire jusqu’à que son regard me fasse comprendre que ma présence est en trop. J’hésite à partir. Je pense à ma meilleure amie. A lui qui la baise dans mon dos. Je décide de leur gâcher cette fin tant attendue. Je referme la porte. Je me recule légèrement et j’hurle :

« Papa !!! J’suis rentrée »

***

Après avoir gueulé derrière la porte de la chambre, j’ai tranquillement regagné la cuisine, le temps qu’ils se rhabillent dans la précipitation et qu’ils trouvent une excuse merdique.

***

Elle débarque, génée et mal à l’aise. Je lui souris, comme si de rien n’était. Arrive mon père. Je fais celle qui l’ignore et je reviens vers Elisa.

« Vilaine, tu m’as laissé tomber…j’étais toute seule à la bibliothèque tandis que toi…au fait, tu fais quoi ici ? »

Un regard candide sur mon père. Je la laisse se démmerder avec son excuse. Mon cher papa ne vient même pas à son secours.

« Ce n’est pas grave, j’ai encore du travail »

Tout en parlant, je me suis levée, je l’ai prise amicalement par le bras et je la mets poliment à la porte.

« on se voit demain. Bisous. Bisous »

Son regard de chien battu fait pitié, mais il se trouve que de la pitié je n’en ai pas.

Petit signe de la main. Aucun retour possible. Elle part.


j'aimerai votre avis sur ce début. comme c'est zarb, et que 'je pousse le bouchon' un peu loin...cette fic sera courte, pcq ce genre de choz, c assez malsain à écrire lol. jsuis tordue, jle fé kan mm.
Par cass - Publié dans : mauvaise fille - Communauté : A l'ombre des romances...
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